Entreprendre une thérapie, partie 1

par | Fév 26, 2024 | Thérapie par le REL | 0 commentaires

Vous envisagez d’entreprendre une thĂ©rapie. C’est une dĂ©cision magnifique, en toute sincĂ©ritĂ©, car elle mĂšne Ă  retrouver la vĂ©ritable nature de son ĂȘtre.

Elle n’est pourtant pas facile Ă  prendre. Elle nĂ©cessite souvent tout un cheminement intĂ©rieur qui prend du temps.

D’ailleurs, en parlant de temps, on sait que, gĂ©nĂ©ralement, l’engagement thĂ©rapeutique va en nĂ©cessiter.

Mais, encore une fois, ce que vous vous apprĂȘtez Ă  vous offrir est extraordinaire et, tout Ă  fait entre nous, je vous souhaite d’entreprendre cette thĂ©rapie avec la mĂ©thode du rĂȘve Ă©veillĂ© libre (REL).

Choisir la thĂ©rapie en REL (rĂȘve Ă©veillĂ© libre)

Pourquoi choisir une thĂ©rapie basĂ©e sur le rĂȘve Ă©veillĂ© libre ?

Généralement, on la considÚre comme appartenant aux nouvelles voies thérapeutiques, prenant pied notamment dans les avancées des neurosciences.

La cure de rĂȘve Ă©veillĂ© libre a une durĂ©e extrĂȘmement variable :

  • elle peut ĂȘtre trĂšs courte, ce qui est souvent le cas chez les enfants et chez certains adultes qui ne vont avoir besoin que de quelques sĂ©ances pour dĂ©nouer ce qui les encombrait, ressentant que le but d’aller mieux est atteint Ă  leurs yeux ;
  • elle peut avoir une durĂ©e moyenne ; nombre de personnes vont nĂ©cessiter un engagement plus long
 Cependant, deux ou trois annĂ©es ne sont rien comparĂ©s Ă  la durĂ©e des psychanalyses. Il n’est pas rare qu’une personne fasse une cure de deux ou trois ans, puis estime avoir dĂ©nouĂ© ce qui entravait sa libertĂ© d’ĂȘtre et estime avoir terminĂ© sa cure ; quelques annĂ©es aprĂšs, faisant face Ă  un Ă©vĂ©nement difficile, ou traversant une remise en question plus ou moins douloureuse, la mĂȘme personne prend rendez-vous Ă  nouveau et repart sur des sĂ©ances thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ©. Celles-ci lui permettront, non seulement, de traverser ce moment, mais aussi de se donner les clĂ©s pour faire de lui un tremplin vers encore plus de conscience de qui elle est et vers un Ă©largissement de sa libertĂ© d’ĂȘtre.
  • la cure de rĂȘve Ă©veillĂ© libre peut ĂȘtre plus longue et soutenir un processus de dĂ©couverte de soi et d’approfondissement de sa vie souhaitĂ©s par certaines personnes. La thĂ©rapie en rĂȘve Ă©veillĂ© libre se rĂ©vĂšle alors d’une grande richesse et ne revĂȘt pas l’ennui rencontrĂ© dans d’autres formes de thĂ©rapie au long cours oĂč le sentiment d’accomplissement dĂ©serte parfois.

Quoi qu’il en soit, la thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre s’adapte donc Ă  de multiples situations et son impact se rĂ©percute Ă  de nombreux niveaux.

La rĂ©volution du rĂȘve Ă©veillĂ© libre

C’est Georges Romey lui-mĂȘme qui titrait ainsi un chapitre de l’un de ses livres (in “Le rĂȘve Ă©veillĂ© libre – Une nouvelle voie thĂ©rapeutique, Albin Michel, 2001) justifiant ce titre par l’affirmation suivante : 

“Ne mĂ©rite-t-elle pas le qualificatif de rĂ©volutionnaire, une thĂ©rapie qui, dans la trĂšs grande majoritĂ© des cas, produit d’excellents rĂ©sultats en moins d’une annĂ©e ?”

La thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre agit sur deux axes principaux : 

  • un axe thĂ©rapeutique, soignant, qui “tend Ă  rĂ©soudre les causes de la souffrance psychique”
  • et un axe de dĂ©veloppement personnel qui replace la personne dans l’axe de l’accomplissement de son ĂȘtre. (op.cit. p.51)

Georges Romey précise que :

“Ni le thĂ©rapeute ni le patient n’ont le moindre pouvoir d’orienter un rĂȘve pour qu’il se dĂ©ploie sur l’un de ses axes. C’est l’état de l’ensemble du dispositif neuronal, de ses rĂ©seaux composĂ©s par des milliards de connexions, qui dĂ©termine le cheminement de l’influx nerveux. Cela se fait toujours dans l’ordre des prioritĂ©s qui assureront un mieux-ĂȘtre Ă  l’organisme total”. (ibid)

En effet, c’est votre inconscient qui dĂ©terminera ce sur quoi il est le plus urgent de travailler afin de contribuer Ă  rĂ©tablir une harmonie submergĂ©e par le flot des difficultĂ©s. Notre inconscient est trĂšs bien fait : il libĂšre ce dont nous avons le plus besoin et ce que nous sommes prĂȘts Ă  mettre en lumiĂšre.

Dans cette pratique thĂ©rapeutique, l’inconscient n’est pas conçu comme un ennemi sournois, mais plutĂŽt comme un collaborateur bienfaisant.

Écouter son inconscient

Comment peut-on faire cela grĂące Ă  la thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre ? 

Lors d’une sĂ©ance de rĂȘve Ă©veillĂ© libre, nous aidons la personne Ă  se relaxer suffisamment pour entrer dans un Ă©tat de conscience modifiĂ©, Ă©largi. Cet Ă©tat permet que surgissent des inconscients individuel et collectif des images qui vont permettre le dialogue entre inconscient et conscient.

A l’aube de notre vie, bien avant le langage, c’est l’image qui tient une place importante et, quoi qu’il en soit, mĂȘme en devenant d’habiles orateurs, nous ne cessons jamais de convoquer les images les plus archaĂŻques qui soient au fond de nous. Nous le faisons souvent sans conscience de leur force, de leur charge et de leur impact. Nous leur mĂ©nageons la place de “rĂȘveries banales et sans importances” ou de “cauchemars pĂ©nibles et bouleversants”
 Mais leur donne-t-on vraiment toute leur vĂ©ritable signification de messagĂšres ?

L’image ne cesse jamais de nous nourrir jusqu’aux publicitĂ©s les plus envahissantes qui jalonnent les parcours de tout marcheurs en ville ou dans les magazines que nous lisons.

L’image est partout ; elle crĂ©e ; elle noue et dĂ©noue ; elle suggĂšre ; elle exprime et explique ; elle choque et concourt ainsi Ă  des prises de conscience plus ou moins heureuses ; elle dĂ©voile et cache dans le mĂȘme temps. L’image tisse complĂštement notre intĂ©rioritĂ©.

Nous baignons dans un ocĂ©an d’images, intĂ©rieurement comme extĂ©rieurement, et, la plupart du temps, nous ne savons qu’en faire.

Dialoguer avec son inconscient

Pour nous, praticiens en rĂȘve Ă©veillĂ© libre, ce matĂ©riau est du pain bĂ©ni ! C’est lui qui nous permettra de tisser, avec la personne qui rĂȘve, une toile de vie plus lĂ©gĂšre, plus heureuse, plus en santĂ©, faisant nĂŽtres ces mots de Clarissa Pinkola EstĂšs :

“Les modĂšles que recĂšlent l’imaginaire, les images de l’inconscient collectif et ceux auxquels les rĂȘves et les Ă©tats de conscience modifiĂ©s peuvent nous donner accĂšs me fournissent une aide efficace.” (in “Femmes qui courent avec les loups – Histoires et mythes de l’archĂ©type de la femme sauvage”, Le Livre de Poche, 2010)

PrĂ©cisons en outre que, mĂȘme si la phase de cocrĂ©ation est courte (tout dĂ©pend en effet du temps dĂ©jĂ  passĂ© durant la sĂ©ance qui dure environ 1 heure 30) ou limitĂ©e d’une quelconque façon que ce soit, le processus du rĂȘve, quant Ă  lui, est en route et produit ses effets, car : 

“La vertu premiĂšre de la mĂ©thode est de promouvoir une dynamique psychologique. Son application rĂ©active le processus d’évolution du psychisme qui s’était figĂ© sous la pression d’excessives protections du moi conscient”. (Op. Cit. p. 29)

 

thérapie

Champs d’application du rĂȘve Ă©veillĂ© libre

Traduit en langage courant, il en rĂ©sulte Ă  mes yeux, huit champs de comprĂ©hension qui peuvent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©s ; en effet, le rĂȘve Ă©veillĂ© libre permet de : 

            1. se comprendre
            2. se relier
            3. s’équilibrer
            4. s’apaiser
            5. avancer
            6. créer
            7. aimer
            8. rayonner

Nous verrons les quatre premiers dans cet article ; les quatre suivants feront l’objet d’un prochain article.

Se comprendre

Toute cure thérapeutique amÚne à une compréhension de soi, voire à un approfondissement de notre vie ; du moins est-ce à souhaiter car nous désirons toustes une thérapie qui donne des résultats


Mon vĂ©cu de rĂȘveuse m’a apportĂ© un Ă©clairage jamais atteint auparavant et pourtant j’avais, il me semble, un excellent niveau d’analyse de ma vie. Oui, mais


Qu’est-ce qui a donc Ă©tĂ© diffĂ©rent ? Ma comprĂ©hension s’est enrichie et Ă©largie. Je dirais mĂȘme qu’elles s’est “veloutĂ©e” en devenant littĂ©ralement plus “vivante”. Quand elle se cantonnait Ă  une comprĂ©hension mentale, certes trĂšs poussĂ©e, il lui manquait toute la dimension du vivant que le corps et ses perceptions apportent. Cela, Ă  mes yeux, a Ă©tĂ© totalement rĂ©volutionnaire, car les informations du corps parviennent Ă  nouveau Ă  la conscience et Ă©largissent celle-ci. (Si d’autres Ă©lĂ©ments biographiques vous intĂ©ressent, consultez ma page « Mon sentier« ).

Cela change tout y compris notre projection dans un avenir différent.

La phase de cocrĂ©ation qui intervient aprĂšs le rĂȘve Ă©veillĂ© libre apporte naturellement plus d’attention Ă  notre imagerie interne. En lui prĂȘtant davantage attention, nous dĂ©veloppons des ressources comme la comprĂ©hension, qui gĂ©nĂšre quant Ă  elle de la bienveillance envers nous-mĂȘme. 

Nous devenons plus intime avec nous-mĂȘme et apprenons Ă  nous familiariser avec tous nos  espaces intĂ©rieurs.

Un cercle vertueux s’instaure Ă  plus ou moins long terme grĂące Ă  la thĂ©rapie.

Se relier

Ainsi, la thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre nous permet de nous relier Ă  toutes les dimensions de notre ĂȘtre.

Que celles-ci soient physique, Ă©motionnelle, mentale, ou encore spirituelle, le rĂȘve Ă©veillĂ© libre agit.

Voici quelques exemples que l’on peut Ă©prouver dans le cadre d’une telle thĂ©rapie :

Celleux d’entre nous qui Ă©taient enfermĂ©s dans un carcan d’attitudes leur faisant, par exemple, rĂ©pondre par le mĂȘme schĂ©ma Ă©motionnel, situation aprĂšs situation, dĂ©couvrent d’autres voies ; ainsi par exemple, les dĂ©clencheurs d’une colĂšre incontrĂŽlable n’opĂšrent plus et la personne se voit rĂ©agir d’une toute autre maniĂšre Ă  ce qui, auparavant, la mettait hors d’elle.

Ou encore, la personne dĂ©pressive qui s’abĂźmait dans les profondeurs sans fond de sa tristesse observe graduellement qu’elle se rĂ©veille plus facilement, se lĂšve plus tĂŽt, connaĂźt plus d’entrain et a moins de mal Ă  dĂ©marrer sa journĂ©e
 Et ainsi de suite.

La thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre nous fait descendre dans le corps ; nous intĂ©grons notre sensibilitĂ©, retrouvons des engrammes dont la dĂ©cristallisation soulage notre ĂȘtre et donne du sens Ă  notre vie.

Telle autre personne qui n’Ă©tait pas portĂ©e sur la spiritualitĂ© dĂ©couvre une aspiration qui l’étonne elle-mĂȘme et enrichit sa vie, soulage certaines angoisses et donne une direction jusqu’alors insoupçonnĂ©e.

Nous connaissons une renaissance sur tous les plans de notre ĂȘtre quand nous ne nous y attendions plus.

S’équilibrer

L’équilibre qu’apporte la thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre peut s’entendre sur ces points prĂ©cĂ©dents. Il peut aussi ĂȘtre vu d’une autre façon, Ă©clairĂ© par l’apport des neurosciences.

Notre cerveau possÚde trois couches : le cerveau reptilien, le cerveau limbique, et le cerveau cortical. A chacun sont assignés des fonctions : 

  • le reptilien assure l’homĂ©ostasie des diffĂ©rentes fonctions corporelles, les besoins vitaux et les rĂ©actions et rĂ©flexes liĂ©s Ă  notre survie
  • le cerveau limbique est le siĂšge des Ă©motions ; la mĂ©moire Ă  long terme lui est associĂ©e (donc les revĂ©cus de scĂšnes de notre vie). Il gĂšre nos Ă©motions, auxquels sont associĂ©s nos comportements en sociĂ©tĂ©
  • le cerveau cortical : il gĂšre nos processus mentaux complexes, comme la cognition, le langage, le raisonnement. C’est lui qui est mature Ă  25 ans.

A cette architecture sophistiquĂ©e, il faut ajouter l’hippocampe qui est en relation avec toutes les zones du cortex cĂ©rĂ©bral.

Dans le meilleur des mondes, nos différentes couches cérébrales sont bien équilibrées et communiquent librement les unes avec les autres, recevant les informations du monde extérieur, et coopérant ensemble.

Ce n’est cependant pas forcĂ©ment le cas, car les zones peuvent se disputer le contrĂŽle de nos pensĂ©es, de nos Ă©motions ou de notre comportement.

Ainsi, par exemple, les attaques de paniques peuvent ĂȘtre provoquĂ©es par notre cerveau Ă©motionnel qui “dĂ©branche” notre cerveau cognitif. Autre exemple, ce dernier peut Ă©touffer nos rĂ©actions Ă©motionnelles, ce qui peut tout Ă  la fois provoquer une libĂ©ration Ă©motionnelle et des dĂ©gĂąts physiques et psychologiques. Il en est de mĂȘme si nos instincts sont rĂ©primĂ©s.

La thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre contribue Ă  rééquilibrer le fonctionnement de nos trois cerveaux, permettant tant aux Ă©motions, qu’aux instincts et Ă  notre mental de s’exprimer, mais aussi de reprendre une place oĂč chacun collabore Ă  notre bien-ĂȘtre. 

Dans notre sociĂ©tĂ© occidentale, le corps est souvent le grand laissĂ© pour compte, et nous vivons souvent dans la tyrannie de notre mental. Nos Ă©ducations nous poussent Ă  dĂ©sinvestir le corps ; il suffit de voir Ă  quel point on exhorte les petits, dĂšs leur plus jeune Ăąge Ă  rester assis de longues heures Ă  l’école, alors qu’ils ont besoin de bouger et qu’ils apprennent dans le mouvement


S’apaiser

L’apaisement apportĂ© par la thĂ©rapie en rĂȘve Ă©veillĂ© libre peut se dĂ©cliner de façon diffĂ©rente.

Certaines personnes sont plus sujettes Ă  l’anxiĂ©tĂ©, voire Ă  l’angoisse, ou encore Ă  la phobie. Au fil des rĂȘves, l’anxiĂ©tĂ© peut s’allĂ©ger, tout comme les angoisses qui vont jusqu’à disparaĂźtre, ainsi que les phobies.

Georges Romey déclarait :

“Aux patients qui se plaignent d’angoisses rĂ©currentes, gĂ©nĂ©ratrices d’inconfort, Ă  ceux qui souffrent des tourments de l’état dĂ©pressif, quel que soit le degrĂ© de celui-ci, Ă  ceux qui souhaitent ĂȘtre dĂ©livrĂ©s de symptĂŽmes handicapants, d’une phobie, Ă  ceux qui cherchent plus simplement Ă  se mieux connaĂźtre, il faut ouvrir toute grande la porte du rĂȘve !” (in “Le rĂȘve Ă©veillĂ© libre – Une nouvelle voie thĂ©rapeutique”, op. cit., pp. 30-31.

L’apaisement se produit aussi pour les personnes faisant face Ă  l’inĂ©luctable de leur fin, souvent dans le cadre d’une maladie Ă  l’issue fatale, mais Ă©galement pour toutes celles et ceux qui ne trouvent pas leur place dans la vie, ont peur tout autant de vivre que de mourir, 

“RĂ©tablir un rapport confiant Ă  ‘imprĂ©visible devenir, au MystĂšre, accroĂźt – ce n’est pas un paradoxe – l’aptitude Ă  gĂ©rer de maniĂšre satisfaisante les choses de la vie” (op. cit., p. 28).

Voici, d’ores et dĂ©jĂ , un bon aperçu de ce que peut nous apporter une thĂ©rapie en rĂȘve Ă©veillĂ© libre.

thérapie

Conclusion sur cette thérapie par le REL

En somme, entreprendre une thĂ©rapie, notamment Ă  travers le rĂȘve Ă©veillĂ© libre, ouvre les portes d’une exploration profonde de soi-mĂȘme. Cette approche thĂ©rapeutique, rĂ©volutionnaire par ses rĂ©sultats souvent rapides, s’ancre dans les mĂ©canismes complexes de notre cerveau, Ă©tablissant un dialogue entre l’inconscient et le conscient.

La richesse du rĂȘve Ă©veillĂ© libre se dĂ©ploie sur plusieurs niveaux, offre une cure adaptable Ă  diffĂ©rentes situations. C’est une invitation Ă  Ă©couter son inconscient, Ă  dialoguer avec les images qui tissent notre intĂ©rioritĂ©, et Ă  nourrir notre ĂȘtre d’une maniĂšre inĂ©dite. La pratique de cette thĂ©rapie devient un chemin vers la comprĂ©hension de soi, la connexion avec toutes les dimensions de notre ĂȘtre, l’Ă©quilibre entre nos diffĂ©rentes couches cĂ©rĂ©brales, et l’apaisement de nos angoisses et phobies.

Au fil des sĂ©ances, la comprĂ©hension de soi s’Ă©largit, les liens internes se renforcent, et un Ă©quilibre entre nos Ă©motions, instincts et mental se dessine. Le rĂȘve Ă©veillĂ© libre devient un catalyseur de renaissance, faisant Ă©merger une intimitĂ© profonde avec soi-mĂȘme et ouvrant des portes vers des aspirations insoupçonnĂ©es.

Dans les prochains articles, nous explorerons davantage les champs de comprĂ©hension que la thĂ©rapie par le rĂȘve Ă©veillĂ© libre offre, de la comprĂ©hension de soi Ă  l’Ă©quilibre, de la reconnexion Ă  l’apaisement. Ici, les mots et les rĂȘves se conjuguent pour vous accompagner sur le chemin de la transformation personnelle.

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Crédits photos : Inspiredimages sur Pixabay

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