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On pourrait parler très longtemps de la dynamique de l’imaginaire ; cependant, le plus convaincant, c’est de l’expérimenter. Alors, on y va ?

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Le contact avec notre inconscient ?

Apprendre à dialoguer entre conscient et inconscient, c’est mettre le contact à notre dynamique d’évolution :

Le miracle de l'inconscient

« Lorsque je commence à travailler avec un nouveau patient, je dessine souvent un grand cercle. Et puis je dessine une petite boucle accolée à la circonférence du cercle. En montrant cette petite boucle, je lui dis :

— Ceci représente votre esprit conscient. Tout le reste, quatre-vingt-quinze pour cent, est votre inconscient. Si vous travaillez assez longtemps et avec acharnement pour essayer de vous comprendre, vous découvrirez que cette grande partie de votre esprit, dont vous n’avez pas conscience pour l’instant, contient de grandes richesses. »

Scott Peck, Le chemin le moins fréquenté, J’ai Lu, 2015

La puissance de l'imagination

A propos de la capacité du cerveau de se remodeler :

« La neuroplasticité est encore plus puissante, comme l’a dévoilé l’imagerie fonctionnelle cérébrale : dans les années 1990, Alvaro Pascual-Leone, de l’université de Harvard, a étudié les modifications du cerveau lorsque des individus apprennent à jouer d’un instrument de musique, le piano en l’occurrence.

Via l’imagerie cérébrale, comme attendu, le chercheur a mis en évidence un plus grand volume pour la zone corticale motrice chez des débutants qui faisaient quotidiennement leurs gammes, et cela après une semaine de pratique seulement.

Plus surprenant encore : sur un groupe de sujets qui ne faisaient qu’imaginer le mouvement des doigts sur le piano, une augmentation semblable a été observée. Ainsi, l’imagination seule est suffisante pour renforcer les circuits neuronaux. Répéter mentalement et pratiquer une activité activent les mêmes zones du cerveau – autrement dit, « s’imaginer, c’est faire ». »

Michel Le Van Quyen, Les pouvoirs de l’esprit, Flammarion, 2015

Rêve nocturne : même les cauchemars sont utiles

« Un cauchemar est facile à reconnaître : Vous vous réveillez avec un sentiment allant d’une légère frayeur à une véritable et totale terreur qui peut vous faire hurler.

Pourtant, même les rêves qui vous effraient peuvent aider. Le sujet d’un rêve peut évoquer un message sérieux et intense. Cependant, ce message provient d’une source amicale – votre propre psyché – dont le but est de vous aider et de vous soutenir.

Que le sujet du rêve soit grave ou effrayant, la communication de votre psyché est une tentative pour vous aider à résoudre le problème ou à surmonter une situation difficile.
Pourquoi un rêve se transforme-t-il en cauchemar ?

La plupart des cauchemars sont simplement des miroirs de vos peurs et de vos angoisses internes. Paradoxalement,[…] ce sont ces mêmes peurs et angoisses qui transforment un rêve anodin en cauchemar.« 

Stase Michaels, « A little bit of dreams : an introduction to dream interpretation« , Sterling Ethos, 2015

Le rêve, le merveilleux et nous

« Dans la tradition occidentale moderne, tout encombrée qu’elle est de l’esprit rationaliste, l’onirique a glissé graduellement dans le registre de l’irréel, de l’irraisonnable, du futile, voire de l’insignifiant (Le Goff, 19855). Ce choix de société nous place en marge de la majorité des traditions du monde, lesquelles ont choisi plutôt de considérer le rêve comme une expérience « vraie », comme une
réalité valide, comme une extension du réel et donc comme ayant sa propre légitimité ontologique.

Le rêve et sa qualité relationnelle s’enrichissent aux sources de l’imaginaire et du merveilleux. Pour
ces traditions, le désenchantement du monde n’est pas une option.

J’ajouterai néanmoins que nous sommes redevables aux Milton, Blake, Keats, Lewis Carroll, Dante, Borges et bien d’autres, qui, avec leur imaginaire poétique et littéraire imprégné de visions et d’allé-
gories oniriques, ont su maintenir un statut respectable au « transport » du rêve et à son potentiel de créativité.

Le rêve n’est-il pas la source même des imaginaires humains ? Peut-on imaginer la nature
et la condition humaines sans le rêve ? Et donc une société humaine sans l’onirique, l’imaginaire, le merveilleux ? »

« Phénoménologie du merveilleux« , Sous la direction de Pierre Schallum, Presse de l’Université du Québec, 2012

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